c'était un de ces dimanches. de ceux qu'on considère à peine comme un lendemain de samedi tant le sommeil manque. il y avait moi, la faim, Y, et l'envie de ne voir personne. une envie tellement puissante qu'acheter un kebab avec boisson pour sept euros me paraissait, malgré mon découvert, un bon compromis pour éviter de me taper belle famille et huîtres dominicales.
les kebabs du loiret sont comme à paris, à la seule différence qu'on peut se brosser pour avoir de la mayo sur les frites, et qu'ils sont dégueulasses. tout pareil sinon.
les kebabs du loiret sont comme à paris, à la seule différence qu'on peut se brosser pour avoir de la mayo sur les frites, et qu'ils sont dégueulasses. tout pareil sinon.